Médecine chinoise et médecine occidentale : compatibilité ?

Médecine chinoise et médecine occidentale : compatibilité ?

La médecine chinoise et la médecine occidentale sont fondamentalement différentes  mais toutes deux efficaces  et ayant chacune leurs fervents adeptes. La médecine chinoise considère le corps humain et l’individu dans son ensemble  aussi bien les facteurs émotionnel  environnemental qu’organique du patient dans le but de rétablir équilibre et harmonie. 

Elle va à la racine du mal et parvient à traiter des maladies graves telles que le sida ou les cancers. La médecine occidentale est  quant à elle  fondée sur l’analyse anatomique et les recherches pointues en laboratoire grâce à de puissants appareils. Des diagnostics précis et ciblés permettent ainsi d’apporter soins et traitements combattant directement les signes du mal  et le mal lui-même.

Les origines de ces deux médecines

La médecine chinoise  datant de plus de six cent siècles  a pris naissance dans des mélanges de doctrines et d’usages provenant essentiellement de la Chine. La médecine chinoise a toujours eu ses pratiques qui font d’elle tout un art  en particulier l’utilisation des plantes  l’acupuncture  le massage ou la prophylaxie.

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La médecine occidentale  elle  a débutée en Occident  au XIe siècle. Longtemps méconnue elle s’est enfin révélée dans sa véritable nature à l’époque d’Hippocrate  vers 460 à 377 avant notre ère. Elle s’attache à supprimer les symptômes d’une maladie et combattre celle-ci avec des médicaments majoritairement d’origine chimique.

La médecine occidentale peut-elle être complémentaire à la médecine chinoise ?

La médecine occidentale ainsi que la médecine chinoise  mêmes divergentes  sont tout à fait compatibles. Par conséquent  de nombreux médecins conseillent à leurs patients de faire recours aux deux pour le traitement de certaines pathologies chroniques. Car la médecine occidentale et la médecine chinoise tendent finalement vers le même objectif : localiser la maladie  l’éradiquer ou ralentir les conséquences néfastes qu’elle a peut-être commencé à engendrer.